Février 2007
Ensuite, au large, inconfortablement accroupis dans la pirogue, il faudra subir d'autres vagues, des coups de vent, ou les rayons cuisants du soleil et pour ramener le plus souvent une bien maigre pêche.
Ces fragiles embarcations ne permettent pas d'aller très loin et les gros chalutiers étrangers qui ratissent la côte malgache épuisent la ressource.
Tous ces villages de pêcheurs survivent avec peine........mais jusqu'à quand ?
Ces fragiles embarcations ne permettent pas d'aller très loin et les gros chalutiers étrangers qui ratissent la côte malgache épuisent la ressource.
Tous ces villages de pêcheurs survivent avec peine........mais jusqu'à quand ?
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