26.11.12

Mon site est actuellement en reconstruction. La nouvelle présentation se fera progressivement. A bientôt pour la suite de "mézaventures"

11.2.08

Dès le retour de la pêche, le poisson est préparé pour être séché. Il sera ensuite acheminé en taxi-brousse à Antalaha pour y être vendu. La maigre recette permettra d'acheter du riz.

6.2.08

Ambodirafia, village de pêcheurs

Ambodirafia est un village très beau mais extrêmement pauvre, démuni de tout et régulièrement ravagé par de violents cyclones qui détruisent tout sur leur passage. Quelques cultures, mais surtout la pêche sont les seuls moyens de subsistance des villageois. Dès l'aube, les pêcheurs embarquent leurs filets dans leurs frêles pirogues.

L'Ecole d'Ambodirafia

Enfin, après exactement sept heures d'un voyage peu ordinaire, l'école d'Ambodirafia est en vue. Cette école, qui fonctionne grâce à SOS Enfants, est le seul bâtiment en dur du village. A chaque cyclone, elle sauve des vies en abritant la population. Sa toiture en béton a résisté aux vents les plus violents (340 kms/h - Gafilo 2004)

Faute de pont, la pirogue

C'est en pirogue que s'effectue la traversée de la rivière jusqu'au dernier taxi qui s'arrête à Ambodirafia

Ponts et cyclones

Les voyages à Madagascar ne manquent jamais d'imprévus. Sur la Côte Est, les ponts sont régulièrement emportés par les cyclones, parfois aussi quelques planches disparaissent.....nécessité fait loi!

Il faudra trois taxis-brousse pour effectuer les cinquante kilomètres qui séparent Antalaha d'Ambodirafia. Le chargement de celui-ci n'a rien d'exceptionnel. Priorité est donnée aux marchandises, les passagers s'accommodant de la place qui reste.

Plage de la côte Est de Madagascar

La piste longe une côte à la beauté sauvage, c'est ici, entre Antalaha et le Cap Masoala que l'on trouve le seul lagon de toute la façade Est de Madagascar

Entre Antalaha et Ambodirafia

Entre Antalaha et Ambodirafia, seulement 50 kilomètres. Mais faits de pistes et de ponts de bois régulièrement endommagés ou détruits par les fréquents cyclones. Des aides ajustent l'écartement des planches avant chaque passage et les chauffeurs font descendre prudemment leurs passagers avant de traverser.

3.1.08

Antalaha - Foyer Orphelinat

Le Foyer Orphelinat Saint Louis de Gonzague tenu par la Communauté des Filles de Marie est une des structures, parmi bien d'autres, aidées par SOS Enfants.

Antalaha et sa vanille

Si Madagascar est le pays de la vanille, Antalaha est la capitale mondiale de cette précieuse denrée.


Nous avons quitté Vatomandry et rejoint Tamatave par la route puis un avion nous a amené de Tamatave à Sambava. Ensuite, à nouveau par la route nous sommes redescendues à Antalaha. L'occasion d'admirer d'autres magnifiques paysages de la Côte Est de Madagascar.

Vatomandry - Trois silhouettes sur la plage

Sur la plage de Vatomandry, dans les premiers rayons du soleil, trois jeunes garçons s'amusent à tenir en équilibre sur une souche ballotée par les vagues. Les enfants démunis ont la faculté de s'amuser d'un rien. Est-ce là le secret de leur sourire?

17.9.07

NOUVEAU DEPART

Je reprendrai la publication des photos de ce premier voyage au début de l'année 2008.

Mais, un NOUVEAU VOYAGE va bientôt commencer.

Accompagnez-moi à Madagascar dès ce 21 septembre sur ce nouveau blog où je tenterai de vous faire vivre en direct.............enfin presque, toutes mes rencontres.

http://madagascar-humanitaire-2007.blogspot.com

Merci à toutes et à tous

Sylvie Nicoulin

15.7.07

Le marché de Vatomandry

Février 2007


Ici, je ne retrouverai pas les couleurs chatoyantes de l'artisanat malgache
mais des fruits et des légumes de saison.
Le marché est toujours un important lieu de rencontre pour les habitants.

7.7.07

Vatomandry - Petit matin sur la lagune

Février 2007

Toilette en famille et toujours les plus grands s'occupant des plus petits

Une fillette coiffe sa petite soeur

Au milieu des jacinthes d'eau arrachées au fleuve par les récentes pluies et ramenées au bord de la lagune, deux jeunes femmes viennent jeter leur filet pour ramener quelques poissons minuscules. Ca peut nous sembler dérisoire, mais rien ici n'est dérisoire.

6.7.07

Vatomandry - Les humeurs de l'Océan Indien dirigent la vie des habitants

Février 2007


Pêcheurs, pirogues, attente toujours.
Attente du bon vouloir de l'océan.

4.7.07

Vatomandry - La dure vie des pêcheurs

Février 2007





Le départ pour la pêche est fait d'attente et de risques, passer la barre des rouleaux n'est pas facile, les pirogues se retournent facilement entraînant le matériel de pêche au fond de l'eau. Il faut choisir le bon moment mais ne pas trop attendre non plus, alors certains se lancent tandis que d'autres hésitent encore.
Ensuite, au large, inconfortablement accroupis dans la pirogue, il faudra subir d'autres vagues, des coups de vent, ou les rayons cuisants du soleil et pour ramener le plus souvent une bien maigre pêche.
Ces fragiles embarcations ne permettent pas d'aller très loin et les gros chalutiers étrangers qui ratissent la côte malgache épuisent la ressource.
Tous ces villages de pêcheurs survivent avec peine........mais jusqu'à quand ?

2.7.07

Vatomandry - Départ pour la pêche

Février 2007

Ils attendent patiemment que les rouleaux se calment pour prendre la mer.

1.7.07

Vatomandry - Départ pour la pêche

Février 2007

Aux premières lueurs de l'aube, les pêcheurs approchent leurs pirogues au bord de l'eau.

30.6.07

Vatomandry - Lever de soleil

Février 2007





Dans la fabuleuse lumière du petit matin, la plage de Vatomandry s'anime.
C'est un instant magique.

29.6.07

Vatomandry - La plage

Février 2007


Les familles malgaches comptent souvent un grand nombre d'enfants et les plus grands apprennent très vite à s'occuper des plus jeunes.


Le week-end, tout le village se retrouve au stade, près du bord de mer, pour des parties de foot très disputées malgré la chaleur.


Nous sommes en saison des pluies, le ciel est chargé, mais ce n'est pas pour cette raison que la plage est déserte. Nous sommes le week-end et, à deux pas d'ici, le foot attire tout le monde.

28.6.07

Vatomandry - La plage

Février 2007

Les pirogues attendent l'heure de la pêche

Cent mètres plus loin, la même plage et l'Océan Indien

La plage à l'embouchure de la Sandramanongy

La plage à l'embouchure de la Sandramanongy

Vatomandry - Les cases traditionnelles en falafa

Février 2007





Le Ravinala, également appelé "arbre du voyageur".
Emblème de Madagascar, il est très utilisé dans la construction des habitations traditionnelles malgaches.
Les feuilles mortes sur pied, appelées raty, seront utilisées pour le toit.
De son tronc droit et lisse, on tirera les planches (rapaka) pour le plancher.
Les murs seront constitués de pétioles de Ravinala sec appelées falafa.
L'utilisation des ravinala permet des constructions peu onéreuses, parfaitement écologiques, en harmonie avec le paysage et confortablement fraîches lorsque la chaleur extérieure se fait étouffante. En revanche, en cas de cyclones, bien peu résistent aux vents violents.

27.6.07

Vatomandry - L'embouchure de la Sandramanongy

Février 2007


Ci-dessus : l'embouchure de la Sandramanongy forme

une sorte de lagune qui permet de pêcher quelques petits
poissons lorsque le mauvais temps interdit la sortie en mer.


Cernée par le Canal des Pangalanes, l'océan Indien et à l'embouchure de la rivière Sandramanongy, la vie des habitants de Vatomandry s'articule autour de l'eau. Mais leur existence n'est guère facile.
La Côte Est de Madagascar est la plus exposée aux cyclones dont les traces restent visibles longtemps après leur passage. La plage est belle mais les rouleaux parfois impressionnants ne facilitent pas la mise à l'eau des frêles pirogues.

26.6.07

Vatomandry - Arrivée

Février 2007

Notre dernière mission MEDICAP dans les prisons nous emmène à Vatomandry, toujours sur la Côte Est de Madagascar, mais au sud de Tamatave.
Entre l'océan Indien et le Canal des Pangalanes.

25.6.07

Tamatave - Pêle-mêle

Février 2007
Aux heures les plus chaudes, un peu de repos bien mérité.

La vie de tireur de pousse-pousse n'est pas une sinécure, celui-ci transporte à la prison de Tamatave plus de cent kilos de riz offerts par une ONG et stockés dans le locaux d'une congrégation religieuse.


Ici aussi.....


A proximité du Lycée Français de Tamatave, quelques enfants qui n'ont guère la chance d'aller à l'école. Le gouvernement malgache fait de gros efforts pour l'alphabétisation mais certains parents considèrent encore leurs enfants comme une main d'oeuvre indispensable qui, entre petits boulots et mendicité, rapporte un peu d'argent à la maison.

Leur avenir...........qui s'en soucie ???

Dans un coin du marché, comme tous les enfants du monde, il suffit d'un seau d'eau pour bien s'amuser